Agréables jardins où les Zéphyrs et Flore
Se trouvent tous les jours au lever de l’Aurore ;
Lieux charmants qui pouvez dans vos sombres réduits,
Des plus tristes amants adoucir les ennuis,
Cessez de rappeler, dans mon âme insensée,
De mon premier bonheur la gloire enfin passée.